La justice a relaxé l’ ancienne commandante de la brigade de gendarmerie de Civray accusée de harcèlement par une subalterne.
Le regroupement des brigades de gendarmerie de Charroux et de Civray ne s’était pas fait dans la sérénité en 2007-2008. A tel point qu’une ancienne gendarme de Charroux avait porté plainte et bataillé de longues années contre sa supérieure pour que la justice examine ses accusations de harcèlement moral.
Deux femmes en souffrance
Elle vient de refermer cet épisode douloureux en relaxantl’adjudante Florence T. chargée par ses chefs de mettre en œuvre le regroupement des brigades du Sud Vienne ( lirenotre édition du 22 janvier 2018).
Une réorganisation qui s’était faite de manière trop autoritaire, selon la plaignante qui se sentait en butte aux remarques répétées de sa cheffe pour des retards, des contestations sur la prise des congés et un rapport sur une fenêtre mal refermée.
Les deux femmes ont depuis quitté la gendarmerie avec un fort sentiment d’amertume et de gâchis.
La gendarmette pense qu’on a cherché à la casser ; l’ancienne adjudante considère qu’on l’a abandonnée en rase campagne , la laissant se dépêtrer de cette patate chaude alors qu’elle exerçait son premier commandement.
Le jugement rendu hier relève que les propos certes très autoritaires pouvaient être inadaptés mais ilsétaient justifiés au regard des retards pointés.
La justice s’est penchée sur les plannings sans ….
Lire la suite sur le site .lanouvellerepublique.fr en cliquant [ICI]