Résumé adapté du roman « Le procès » de Franz KAFKA : Quand la réalité rejoint l’absurde…

Résumé du roman de F.KAFKA  « Le procès »

Joseph K., un employé de banque modèle et sans problème, est arrêté un matin par des inconnus vêtus d’un uniforme de voyage. Soi-disant arrêté, K. reste libre pour continuer à vivre comme si rien ne s’était produit, mais il est sans arrêt surveillé et épié par trois de ses collègues de travail. Pensant, au début, que tout cela n’était qu’une vile plaisanterie de ses collègues, K. ne tient pas compte de ce qui se passe. Intrigué par l’absurdité de la situation, il interroge les policiers sur son arrestation et n’obtient aucune réponse ; c’est alors qu’un sentiment de culpabilité s’empare de lui. Pour montrer que tout le monde se trompe à son sujet, il accepte de venir à toutes les convocations et de comparaître devant le tribunal. Angoissé, il cherche par tous les moyens à s’innocenter et commence alors à négliger son travail. En effet, sous le conseil de son oncle, il engage un avocat devant la Cour de Justice. Il sollicite également l’aide du peintre des juges qui ne lui garantit pas un acquittement définitif. Plus tard dans une cathédrale, il rencontre son ancien avocat qui lui explique qu’il est bel et bien innocent, mai K. ne prend pas en considération ses paroles. >Ses inquisiteurs qui, l’avaient interpellé, l’emmènent dans un endroit non fréquenté et retiré de la ville pour l’exécuter. Incapables de le faire eux-mêmes, ils feignent un geste de politesse se proposant l’un l’autre le couteau pour avoir « l’honneur » d’exécuter le condamné. Se rappelant l’enfer qu’il a vécu auparavant, il se laisse faire par les deux bourreaux et meurt étant convaincu que la honte le suivrait jusque dans la mort.

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Résumé adapté du roman « Le procès » de Franz KAFKA : Quand la réalité rejoint l’absurde…

Patrick, militaire sans problème, est banni un matin par des hommes vêtus d’un uniforme. Soi-disant arrêté, P. reste libre de continuer à vivre comme si rien ne s’était produit, mais il est sans arrêt surveillé et épié par sa hiérarchie. Pensant, au début, que tout cela n’était qu’une erreur de ses chefs, P. ne s’inquiète pas de ce qui se passe. Intrigué par l’absurdité de la situation, il interroge ses chefs sur son arrestation et n’obtient aucune réponse ; c’est alors qu’un sentiment d’injustice s’empare de lui. Pour montrer que tout le monde se trompe à son sujet, il demande des convocations  et à comparaître devant sa hiérarchie. Angoissé, il cherche par tous les moyens à s’expliquer et commence alors à négliger son travail. En effet, il en parle au président des sous-officiers suppléant qui va en parler au chef de corps ; le Président des sous-officiers titulaire revenant, il est contraint à assurer lui-même sa propre défense devant ses chefs. Il sollicite également l’aide de la commission des recours des militaires qui ne lui garantit pas un acquittement définitif. Plus tard, il rencontre d’autres personnes qui lui expliquent qu’il est bel et bien innocent, mais P. ne prend pas en considération ces paroles. Ses inquisiteurs qui  l’avaient interpellé, l’affectent dans un endroit loin du quartier  Bellecombe pour l’exécuter moralement. Incapables de le faire eux-mêmes, ils feignent un geste de politesse se proposant l’un l’autre le couteau pour avoir « l’honneur » d’exécuter le condamné. Se rappelant l’enfer qu’il a vécu auparavant, il ne se laisse pas faire par les autorités, convaincu que la honte ne les suivrait pas.

Patrick

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