L’intervention contre la Syrie reste probable, sous une forme ou une autre, en dépit des réserves de l’opinion publique américaine et française et des difficultés d’Obama devant son congrès à front renversé, puisque les démocrates y sont défavorables alors que les républicains, ce n’est pas une surprise, seraient pour l’intervention.
Pour ce qui concerne la France, je regrette personnellement cette détermination d’apparence, qui traduit en fait de la part d’un président faible sur le plan intérieur, une fermeté de timide timoré, (pléonasme volontaire) dont la communication maladroite sur la forme de ses discours et sur le fond ne renforce pas la crédibilité de la France. A cet égard le manque de charisme de notre président totalement isolé, petit valet d’un Obama rayonnant, face à un Poutine jubilant, lors du G20 me paraît illustrer parfaitement ce déficit de crédibilité.
» On ne justifie plus une guerre sur des principes moraux aussi légitimes qu’ils puissent être, en évoquant l’idée de punir. …
Lire la suite de cet article sur le site Athena-Defense en cliquant [ICI]