A quoi peut servir le syndicalisme dans les armées ? Est-ce un « mal » nécessaire ? Comment pouvons-nous concevoir une défense européenne dans une inégalité flagrante de traitement de ceux qui en sont les acteurs principaux ? Un syndicalisme apolitique et neutre peut-il exister ? L’histoire du syndicalisme en France et de sa relation avec « Le Politique, le mouvement social, le communisme, les mouvements pacifistes, la lutte des classes » condamne-t-il tout progrès de notre institution dans ce domaine ? Faut-il considérer que l’appartenance à une institution régalienne interdit la prise en compte de la défense des droits collectifs et individuels ? En un mot la France sera-t-elle le dernier pays d’Europe à considérer que les membres de l’institution militaire ne peuvent s’organiser dans la défense de leurs « intérêts catégoriels ».. Est-ce si iconoclaste de se poser ces questions ?
En Allemagne, le Bundeswehrverband (syndicat des militaires de l’armée allemande), regroupe plus de 200.000 personnes, ses ressources financières sont garanties statutairement et son président le colonel Kirsch est un partenaire officiel du ministère de la défense.. En France une association de défense des …..
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