Le directeur de l’Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire, Frédéric Charillon, estime qu’il « importe, dans un premier temps, de disposer de l’outil militaire permettant d’agir seul. Il importe, dans un second temps, de disposer de la « capacité d’entraînement » diplomatique permettant de ne pas le rester ».
C’est une prise de position à lire au moment où la France planche sur une nouvelle doctrine de défense à l’occasion de la prochaine sortie du Livre blanc sur la défense. Elle estl’oeuvre du directeur de l’IRSEM (Institut de Recherche Stratégique de l’École Militaire), Frédéric Charillon, qui voit « quatre confirmations de tendances stratégiques » au moment où la France est simultanément aux prises avec deux exercices en cet hiver 2013 : « la (re)définition, la programmation de cette puissance d’abord, avec la rédaction en voie d’achèvement du Livre Blanc sur la défense et la sécurité nationales ; la pratique de cette puissance ensuite, avec l’action de ses troupes au Mali depuis le 11 janvier dernier ».
Disposer de l’outil militaire permettant d’agir seul
Première confirmation :….
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